Basra en feu: l'Irak s’empare du barrage mondial dans un final épique

Résumé du match

L’équipe d’Irak a décroché son billet pour le barrage mondial des qualifications à la Coupe du Monde 2026 en s’imposant 2-1 face aux Émirats arabes unis au stade international de Basra, lors du match retour du barrage asiatique, disputé ce mardi soir.

Kaï Lukáš a ouvert le score pour les Émirats à la 52e minute, mais le remplaçant Mohannad Ali a égalisé à la 66e.

Le suspense s’est emballé dans les dernières minutes après qu’un penalty a été accordé pour une main dans la surface; Amir Al-Amari a transformé à la 90+16, offrant la victoire à l’Irak.

L’Irak se qualifie pour le barrage mondial après avoir fait 1-1 à l’aller, et rejoint les compétiteurs qui se préparent à la dernière étape menant au Mondial.

En chiffres et faits marquants

L’Irak a ratifié son passage en barrage grâce à une conclusion dramatique. Le premier acte a été ponctué par des occasions des deux côtés et par des parades décisives qui ont maintenu le score nul jusqu’à la seconde période.

Après l’ouverture du score irakienne, la réaction adverse est venue sous forme de pressing et de tentatives, mais les défenses ont tenu bon sur la plupart des tentatives, avant que le match ne bascule dans les dernières minutes avec l’action du pénalty.

En allant plus loin dans le récit, on retiendra la performance collective de l’Irak qui a su répondre au défi, et les changements opérés par les deux entraîneurs pour tenter d’inscrire le but victorieux qui a finalement pénalisé les Esprits en colère sur le banc des Émirats.

Le rendez-vous mondial échappe encore à l’Émirats qui, sous la conduite de leur coach, a essayé de maintenir le cap malgré les contres et les remplacements orientés vers l’offensive.

Et l’histoire du Mondial 1986 refait surface pour l’Irak, qui n’a plus connu la Coupe du Monde depuis cette édition mexicaine, marquant une nouvelle page dans l’espoir des supporters et des joueurs.

Shout-out tactique : dans ce match, l’intelligence des changements et la gestion des temps forts ont été aussi importantes que les tirs cadrés.

Shout-out humoristique : si le monde du football avait une page dédiée à Basra, on y trouverait sûrement un waypoint “capitaine courage” pour la défense irakienne et un bouton “penalty” qui clignote en urgence lorsque l’arbitre consulte la VAR.

Le match a aussi rappelé que les trajectoires sportives se dessinent dans les détails: un angle droit, un rebond chanceux, ou un coup de sifflet qui peut tout changer en quelques secondes, surtout dans les minutes ajoutées.

En somme, l’Irak peut désormais préparer les affiches des barrages mondiaux avec l’espoir grandissant d’accrocher une place en Coupe du Monde, tandis que les Émirats devront retourner la donne dans les prochaines échéances.

Punchline sniper 1: “À Basra, même les poteaux se mettent du côté de l’Irak quand le clock grave sa dernière minute.” Punchline sniper 2: “Si le football était une équation, la pénalité de fin de match serait l’élément manquant qui transforme le 1+1 en mondiale!”