Contre-attaques en feux follets : le duel Al-Nassr – Al-Ittihad qui secoue la Coupe du Roi Salman

Contexte et faits marquants

Lors du huitième de finale de la Coupe du Roi Salman, Al-Nassr s’incline 2-1 face à Al-Ittihad et voit son adversaire accéder aux quarts. Le champion en titre du tournoi poursuit sa route malgré un déficit numérique important dans ses rangs, démontrant une belle détermination pour défendre le titre.

Les phases défensives des deux formations ont offert un match intense, marqué par les contre-attaques rapides d’Al-Ittihad et par un but initial inscrit par Karim Benzema sur une contre-attaque menée par Moussa Diaby.

Le portier brésilien Bento a été la cible de critiques après deux tirs adverses convertis en buts, tandis que le match a été ponctué par la sortie d’un joueur d’Al-Ittihad et un temps fort du jeu. Malgré cela, Al-Ittihad a su maintenir le rythme et a même dû évoluer en infériorité numérique pendant une partie du deuxième acte.

Les fans ont aussi évoqué le manque d’efficacité du dispositif de Jorge Jesus et l’ampleur de la déception autour des contres adverses qui ont mis à mal la défense d’Al-Nassr. Les supporters ont noté que le gardien Bento n’a pas été au niveau sur les deux tirs qui ont fini au fond des filets, signés Benzema et Awar.

Par la suite, Al-Ittihad a su conserver son avantage et s’est montré solide malgré le contexte défensif et les phases offensives d’Al-Nassr en fin de rencontre.

En interne, les observateurs ont rappelé l’histoire favorable d’Al-Ittihad face à Al-Nassr en Coupe, ce qui nourrissait les attentes autour du club champion en titre et de sa capacité à défendre son trophée dans une compétition disputée.

Du côté des coachs, Jorge Jesus endure une nouvelle défaite de prestige depuis son arrivée, renforçant les débats sur son choix tactique et son adaptation à la compétition nationale, notamment après l’échec en Super Coupe Saudi.

Au chapitre des individualités, Danilo Pereira a été salué pour son retour à son meilleur niveau et ses interventions décisives en défense, apportant une étincelle à une ligne arrière qui avait aussi connu des moments difficiles.

Punchline finale 1 : Le seul hors-jeu vraiment efficace ici, c’est le suspense qui nous tient en haleine jusqu’au coup de sifflet final.

Punchline finale 2 : Si ta tactique est un fusil, Jorge Jesus, elle vise parfois juste… puis rate la cible et te laisse admirer le feu d’artifice des contres.