Drame à Lyon: le PSG s’empare de la tête en fin de match après un 3-2 sur Lyon
9 novembre 2025
Le verdict final: le PSG s’impose à Lyon dans les dernières secondes
Le Paris Saint-Germain a livré un thriller à Lyon, s’imposant 3-2 contre l’Olympique Lyonnais pour boucler la 12e journée de la Ligue 1. Le match a basculé sur un final à couper le souffle, livré par un but décisif à la 95e minute.
Les temps forts et les chiffres clés
PSG a pris les commandes en ouvrant le score à la 26e minute par Warren Zaïr Emri, puis doublant la mise à la 33e minute grâce à Khvicha Kvartatskhelia, avant que Lyon ne réplique par Afonso Morreira et Enes Maitland-Niles à la 30e et 50e minute, ramenant le score à 2-2.
Dans le temps additionnel, Joao Neves a inscrit le but victorieux à la 95e, profitant d’un contre et d’un manque de discipline défensive lyonnais. Le match a aussi vu Nicolas Tagliafico être expulsé à la 93e minute, changeant la physionomie du final.
Le PSG a vécu ce duel sans quatre éléments importants: Achraf Hakimi et Nuno Mendes, ainsi que Ousmane Dembélé et Désiré Doy, manquant à l’appel pour des raisons physiques, laissant Luis Enrique réorganiser son dispositif.
Sur le plan tactique, le coach espagnol a aligné Lucas Chevalier dans les buts, avec une ligne arrière et un trio offensif autour de Neves et Ruiz, soutenus par Kvartzakhélia et d’autres remplaçants, dans une rencontre où l’intensité n’a jamais baissé.
Au classement, le PSG grimpe à 27 points et reprend la tête du championnat, distançant les poursuivants après ce succès spectaculaire, tandis que Lyon stagne à 20 points, en se contentant d’une 7e place qui tient du détail après un parcours dense.
Head-to-head, ces deux clubs se sont rencontrés à 112 reprises, avec le PSG en tête (52 victoires) devant Lyon (34 victoires) et 26 matchs nuls. Le PSG a inscrit 197 buts contre 149 pour Lyon, selon Transfermarkt.
Punchline finale: si le suspense avait un prix, ce match serait son édition premium — et le ticket serait pour la 95e minute.
Punchline finale 2: le football, c’est comme un bon thriller: on coupe le souffle, on n’arrête pas le générique et on applaudit au moment exact où le héros marque.
