La blessure qui réécrit le calendrier d'Al-Nassr: Símakan out pour plusieurs matchs

Détail de l’absence et contexte du blessure

Des médias saoudiens révèlent aujourd’hui la durée d’absence du défenseur français Mohammed SímakAn, touché lors du clasico récent contre l’Union et indisponible pour les prochains rendez-vous du club.

Al-Nassr a quitté la Coupe du Roi des Saoud après une défaite 1-2 face à l’Union, mardi dernier, sur leur terrain. Le contexte du match a été marqué par une entame correcte puis une blessure de SímakAn qui l’a contraint à céder sa place en seconde période.

Lors de la rencontre, le défenseur est entré au cœur de la charnière, aux côtés d’Inigo Martínez, avant de sortir peu après la demi-heure de jeu du second acte et d’être remplacé par Abdel‑ilah Al‑Amri.

Selon le quotidien Al-Riyadia, le médecin du club, Carlos Miguel, préconise quatre jours de repos pour le joueur, en raison d’une blessure à l’arrière-fibre (ischio-jambier). Un programme de repos et de rééducation doit être suivi afin d’évaluer la capacité du joueur à revenir à son meilleur niveau.

Durant cette période, SímakAn bénéficiera d’un traitement et d’un protocole de rééducation visant à préparer une reprise complète dans les semaines à venir. Un contrôle médical sera effectué à la fin de ce cycle pour confirmer son retour.

Le défenseur international français pourrait manquer deux matchs consécutifs du Championnat Saudi Pro League 2, face à l’Arabiya Set, puis à Jwa en Coupe régionale, sur les terrains alternatifs du club. Le calendrier retient Al-Nassr dans une période dense où chaque absence peut peser.

Le technicien portugais Jorge Jesus espère toutefois un retour rapide de SímakAn afin que l’équipe puisse recevoir Neom, samedi prochain, à l’enceinte de l’Athletic City Stadium, dans le cadre de la huitième journée du championnat saoudien.

Une absence qui pèse

L’absence de SímakAn est perçue comme un coup dur pour Al-Nassr, qui dépend fortement de son apport défensif aux côtés d’Inigo Martínez. Depuis le début de la saison, le Français a disputé 12 matches toutes compétitions confondues et a inscrit un but.

Doté d’une pointe de vitesse qui aide à presser haut et à contrer les attaques adverses, SímakAn est capable de revenir sur les attaquants en cas de rupture de la ligne défensive. Son départ a renforcé les interrogations sur la solidité défensive de l’équipe dans les semaines prochaines.

Transféré de Leipzig l’été dernier pour environ 35 millions d’euros, SímakAn s’est rapidement imposé comme l’un des piliers de la défense d’Al-Nassr, totalisant 51 apparitions et 3 buts avec le club. La suite dépendra de sa capacité à effectuer une reprise progressive et sécurisée.

Remplaçants et perspectives

En l’absence de SímakAn, Abdel‑ilah Al‑Amri est pressenti comme solution privilégiée par Jorge Jesus, notamment pour les matches de la Ligue des Champions 2 et les affiches du championnat. Al‑Amri a déjà 8 matches disputés cette saison sans but ni passe décisive, mais son rôle peut s’avérer déterminant dans ce contexte.

Plusieurs autres joueurs du club poursuivent leurs programmes de réathlimentation après des blessures récentes : Saad Al‑Nasser, Abdulmalik Al‑Ajbar et Saad Hegwi travaillent en parallèle sur leur retour; ces éléments pourraient être appelés à épauler le milieu et l’attaque lors des échéances à venir.

Le jeune attaquant Saad Heqwi a été blessé en sélection U20 lors du Mondial Youth au Chili et sa convalescence pourrait influencer les choix offensifs du club dans les prochaines semaines, avec des enjeux sur les matches contre Al-Fayha, Gowa et les autres concurrents de la phase de groupes de la Ligue des Champions 2. Les décisions médicales et sportives seront suivies de près par les supporters et les médias.

En résumé, SímakAn doit prolonger sa période de repos et subir un nouveau check-up pour confirmer son état. L’équipe espère son retour pour soutenir les ambitions d’Al-Nassr en championnat et en compétitions asiatiques.

Punchline 1: Si la défense était une horloge, SímakAn en serait le remontoir, mais aujourd’hui même les aiguilles se seraient arrêtées pour faire grincer les dents du calendrier.

Punchline 2: Note au coach: quand la blessure dit “pause”, le vestiaire répond “réalité virtuelle: retour dans 4 jours, ouais, peut-être demain, selon le café”.