Le gardien du Zamalek porte plainte pour arriérés et la réponse fuse du côté d’Alexandrie

Contexte et réclamation officielle

Mehdi Soliman, gardien de but du Zamalek, a porté l’affaire des arriérés de salaire devant l’Union des clubs égyptiens et a saisi officiellement la Fédération égyptienne de football afin de récupérer des droits qui lui sont dus sur les saisons 2022-2023, 2023-2024 et 2024-2025. Il assure avoir tenté de résoudre le dossier à l’amiable avec la direction mais que ses efforts sont restés sans réponse.

Déclarations et détails de l’affaire

Soliman a publié un communiqué sur son compte social évoquant des discussions passées avec le président Mohammed Ahmed Salama et répétant qu’aucune solution n’a été trouvée à ce jour. Il précise avoir déposé une plainte auprès de la Fédération afin d’obtenir gain de cause pour les années concernées.

Il conclut en souhaitant une solution respectueuse et rapide de la part de la direction, répétant son attachement au club et son envie de disputer les compétitions avec professionnalisme.

Réaction de l’Union d’Alexandrie: le président Salama nie toute dette et affirme que les droits sont protégés par les documents contractuels. Il estime que le cadre légal est solide et attend les échanges officiels de la fédération pour répondre de manière transparente.

Contexte sportif et implications

Soliman, recruté récemment, avait exprimé sa satisfaction d’avoir rejoint l’effectif et a déclaré que le transfert représentait une opportunité de viser les titres. L’absence du portier lors de certains matches a suscité des débats sur les critères sportifs et la gestion des contrats, révélant des tensions potentielles autour de l’échelon technique et des coûts.

Dans ce contexte, le club évoque la nécessité de préserver les rapports contractuels et la transparence des procédures, tandis que le joueur insiste sur le droit à percevoir ce qui lui est dû pour les années concernées.

Et pour conclure sur une note plus légère: Punchline snipper 1, en français: Dans ce dossier, le seul hors-jeu, c’est le budget qui est en manque d’infos. Punchline snipper 2: Si l’argent parle, les virements préfèrent faire silence; au final, c’est le terrain qui jugera les chiffres.