Novembre décisif pour Enrique et le PSG : blessures, Ligue 1 et défis européens
1 novembre 2025
Contexte et enjeux
L’entraîneur espagnol Luis Enrique, à la tête du Paris Saint-Germain, doit gérer un mois de novembre dense et chargé d’épreuves.
Le club souffre encore de blessures et d’un écart entre sa progression en Ligue des champions et ses résultats en Ligue 1.
Le PSG a remporté les trois premiers matches de la phase de groupes en Ligue des champions, affichant une marche stable sur le plan continental, mais a connu des revers en championnat.
« C’est courant dans le football, pas de panique, le champion ne se dessine pas après dix journées mais sur l’ensemble de la saison. Nous avons un long chemin devant nous et j’ai toute confiance en mon groupe », a déclaré Enrique lors de la conférence de presse.
Pour novembre, Paris prévoit six rencontres, dont cinq affiches particulièrement difficiles face à des adversaires directs.
Le programme commence par Nice au Parc des Princes dans la 11e journée de Ligue 1, puis reçoit le Bayern Munich en Ligue des champions au même stade, dans une affiche européenne qui attire les regards.
Trois jours plus tard, Paris rendra visite à l’Olympique Lyonnais dans le cadre du championnat, et ensuite la fenêtre internationale va entraîner l’absence d une quinzaine de joueurs.
Après la pause internationale, le club recevra Le Havre le 22 novembre, puis Tottenham le 26 au Parc des Princes, et enfin Monaco le 29 dans le cadre de la Ligue 1.
Sur le plan des résultats, le PSG affiche six victoires et deux nuls dans les compétitions nationales récentes, et une défaite inattendue face à Marseille lors du clasico, lorsque la cérémonie du Ballon d’Or a décalé le match.
En Europe, le club a entamé la Ligue des champions avec trois victoires consécutives et la Super Coupe européenne remportée aux tirs au but contre Tottenham, consolidant son statut de favori sur le plan continental.
Et pour clore sur une note légère: le calendrier est parfois un adversaire plus tenace que les défenseurs les plus coriaces du championnat.
Punchline 1: Le calendrier de novembre est tellement chargé que même les ballons demandent des congés maladie.
Punchline 2: Si Enrique gagne tout en novembre, on dira que le seul constant ici était… le calendrier qui ne rate jamais une date.