Quand le volley-ball égyptien met les sanctions sur le devant de la scène

Contexte et sanctions au volley-ball égyptien

La fédération égyptienne de volley-ball, présidée par Yasser Qamar, a publié des mesures disciplinaires strictes visant à préserver l’intégrité du sport et le respect des règles, selon un communiqué officiel.

Elle a décidé d’interdire Ahmed Shalan, administrateur du Zamalek, pour trois ans à partir du 1er octobre et de l’empêcher d’exercer toute activité liée au volley-ball pendant cette période.

Ahmed Fathy, Ahmed Ayman Abdel-Azim et Ihab Khaled Thabet du Zamalek reçoivent une suspension d’un an chacun, accompagnée d’une amende de 200 000 livres par joueur.

Selon le communiqué, ces sanctions ont été prises après leur voyage en Émirats sans autorisation du club, de l’Union ou du ministère des Sports et sans figurer dans le décret ministériel relatif à la délégation pour la tournée amicale de Bani Yas.

Par ailleurs, l’Union a approuvé l’inscription de Nour Yassin, ancienne joueuse d’Al Ahly, au Sporting, et de Malak Bahiri au Wadi Degla, et a confirmé l’éligibilité d Ahmed Ayman Abdel-Azim au club Al-Talaa’ Al-Jeish.

Cette décision rappelle que la discipline et le respect des procédures restent prioritaires dans le volley-ball égyptien.

Punchline 1: Au volley comme en cuisine, quand on balance le service, il faut viser le filet — sinon c’est la soupe qui passe pas le filet.

Punchline 2: Si les sanctions faisaient gagner des sets, Zamalek serait champion du monde de la discipline — et du recadrage.