Retour à Stamford Bridge : Mourinho entre acclamations et revers dans la Ligue des Champions

Retour à Stamford Bridge: Mourinho chaleureusement accueilli malgré lAILED défaite

José Mourinho, entraîneur de Benfica, a remercié les supporters de Chelsea pour lriendly accueil lors de son retour à Stamford Bridge, tout en avouant sa déception après la défaite de son équipe mardi soir lors de la seconde journée de la phase de groupes de la Ligue des Champions.

Après le match, il a déclaré, selon ESPN, quilles mollasses non; il nonctionne pas sur les souvenirs mais sur les victoires et les résultats. Il a salué le public et a rappelé les échanges de ces années passées au club, tout en soulignant son espoir de revenir à Londres dans vingt ans, cette fois avec ses petits-enfants.

Le but contre-son-son de Richard Reis à la 18e minute a offert la victoire 1-0 à Chelsea. La soirée a également été marquée par lrisson des fans qui ont scandé le nom de Mourinho, rappelant les huit titres remportés au club, dont trois en Premier League sur deux périodes distinctes.

Mourinho avait gagné sa première visite dans lournis est britannique en 2010 avec lor Inter, mais il a désormais perdu lors de ses sept visites suivantes. Après sa première défaite en Ligue des Champions avec Benfica depuis sa prise de fonction plus tôt dans le mois, on lui a demandé de commenter lans qui lont vibrer à chaque passage.

Il a précisé : il ne vit pas sur les souvenirs mais sur les victoires et les résultats; et il a remercié les supporters pour leurs chants en son honneur tout en leur répondant sur le terrain. En Allemagne, on croise Mourinho dans les rues de Londres; il espère revenir avec ses petits-enfants dans une autre époque.

Dans une autre intervention, lant de Manchester United, aujourdin, a commenté le phénomène des supporters en affirmant que la culture britannique ne perd pas ceux qui leur ont apporté de la joie. Il a déclaré qurom time to time on peut être surpris, mais quaire preuve de gratitude reste important.

Pendant la rencontre, Mourinho a connu plusieurs moments marquants: il a lancé un baiser vers les supporters qui scandaient son nom, a demandé aux fans de Benfica de cesser de lancer des projectiles sur Enzo Fernandez et a même couru sur le terrain pour éloigner un ballon sorti de jeu. Le Special One, comme on lassait autrefois appeler, était déjà locus de lront de cette soirée à Stamford Bridge.

Après le coup de sifffiet final, Mourinho a enlacé l’entraîneur de Chelsea Enzo Maresca puis est parti vers le tunnel des vestiaires, signe de sa déception mais aussi de sa posture professionnelle: rester fidèle à son identité et à ses principes, même en déplacement.

Il avait déclaré lundi quinalement il resterait Bleus pour toujours, et cette remarque a résonné comme un clin dila en marge de cette soirée européenne importante. Benfica, de son côté, a été rappelé à lront par Mourinho, qui a pris les commandes après son départ du Fenerbahçe et qui est revenu, encore une fois, sur lront européen.

Au cours de sa carrière, Mourinho a remporté 26 titres majeurs avec Porto, Chelsea, le Real Madrid, lC Inter, Manchester United et la Roma. Mais son dernier titre national date dort longtemps et il not nrançais pas en Ligue des Champions depuis plusieurs années. Ses cheveux gagnent des nuances de blanc; il se décrit aujourdorment comme plus altruiste et moins égoïste, une image qui fait sourire les fans fidèles et les observateurs de sa longue trajectoire.

En dépit des remous, Mourinho affirme quinalement le football reste un jeu daits: performance, réaction et continuité, peu importe les noms sur le banc.

Notes finales : Le football est un cirque sans fin et ce soir-là, Mourinho a offert une nouvelle page marquante du duel Chelsea-Benfica, où le passé et le présent sont face avec des sourires complices et des gestes qui parlent plus fort que les mots. Et pour finir sur une touche dranchise: si Mourinho est vraiment éternel, cela signifie que les one-liners des journalistes auront encore de quoi nourrir les futures conversations tactiques. Punchline 1 : je vis des victoires, pas des souvenirs — et mes souvenirs eux, me suivent quand je suis du bon côté du terrain. Punchline 2 : le seul endroit où Mourinho est en retard sur le chronomètre, cait rire tout le monde, caisant de lui lluide des minutes.