Séville met Barça à plat: une victoire historique qui secoue la Liga

Un choc historique à Séville

Dans le cadre de la huitième journée de La Liga, Séville a écrasé Barcelone 4-1 au Stade Ramón Sánchez-Pizjuán, écrivant une page spectaculaire de leur confrontation centenaire.

Les Sevillans ont pris les commandes par un cobb de maîtrise: Alexis Sánchez transforme un penalty à la 13e minute, puis Ishaq Romero attendrit les esprits en inscrivant le deuxième but à la 36e, positionnant Séville en tête sur un terrain bouillant.

Barcelone a réduit la marque juste avant la pause, lorsque Marcus Rashford a trouvé le chemin des filets à 45+7 minutes, ramenant le score à 2-1 et réveillant les spectateurs, qui avaient déjà commencé à croire en une remontée.

Le second acte a été dominé par Séville, mais le Barça a tenté de revenir grâce à une série d’actions menaçantes et à quelques occasions, sans parvenir à nouer le scénario souhaité pour égaliser.

Le scénario final et les incidents

À la 73e minute, Alejandro Balde obtient un penalty pour Barcelone, mais Robert Lewandowski le rate à 76e, laissant Séville reprendre l’initiative et maintenir l’écart.

Dans les dernières minutes, la tension monte avec un carton rouge initialement brandi contre un joueur sevilliste, Beqi, après consultation du VAR ce qui a conduit à un retour à la jaune à la 90+5, afin de maintenir l’équilibre et d’éviter un excès de nervosité sur le terrain.

Et puis, en contre-attaque à la 90+6, Akor Adams scelle le 4-1 pour Séville, offrant une fin de match explosive et une victoire qui restera dans les mémoires. Les sévillans célèbrent une victoire historique sur le Barça, qui marque leur premier succès contre Barcelone dans le championnat en dix ans.

Punchline 1: Le Barça a peut-être oublié comment pousser, mais Séville a rappelé à tout le monde qu’on peut marquer quatre fois sans laisser le match se perdre dans les détails techniques.

Punchline 2: Note pour les fans: si la Liga avait un manuel d’instructions, ce match serait probablement l’édition “Comment écrire une page d’histoire quand l’ennemi fait semblant d’être un mur.”