Vinícius conteste Alonso au Clasico: le vestiaire en ébullition et l’avenir du Real Madrid en question
27 octobre 2025
Le Clasico bascule dans l’inédit
Une nouvelle crise éclate au Real Madrid lors du Clasico lorsque Vinícius Júnior exprime publiquement son mécontentement envers l’entraîneur Xabi Alonso après son remplacement à la 70e minute. Le Brésilien, irrité, manifeste par des gestes et des mots, puis quitte le terrain pour les vestiaires, sans revenir au banc peu après.
Selon Sport, la décision de remplacer Vinícius par Rodrygo dans les dernières minutes a surpris le joueur et alimenté sa colère, promettant des débats dans les semaines à venir.
À l’annonce du numéro affiché sur le tableau du quatrième arbitre, Vinícius paraît choqué et préfère quitter le terrain sans saluer l’entraîneur, dévoilant son malaise.
Les explications d’Alonso et la suite du récit
Alonso choisit d’ignorer le tumulte; des coéquipiers interviennent pour apaiser Vinícius. Le Brésilien n’est pas assis sur le banc au début, retourne aux vestiaires puis réapparaît quelques minutes plus tard, le visage fermé et l’humeur tendue.
En quittant le terrain, il lâche une insulte dirigée contre Alonso et affiche une frustration marquée.
Ce n’était pas la première fois que Vinícius réagit vivement à des substitutions : Alonso a souvent sorti le joueur plus tôt que prévu, ce qui nourrit le sentiment d’être ciblé dans l’esprit du Brésilien.
Sport précise que Vinícius répète: « Moi ? Moi ? » et que les tensions se répandent dans le vestiaire, notamment par rapport au traitement jugé différent par rapport à Mbappé, rarement remplacé.
Des images de DAZN montrent Vinícius criant: « Toujours moi ! Je partirai du club », tandis qu’Alonso répond gravement: « Allez, va ! »
A propos du staff et du match
En conférence, Alonso minimise l’incident, expliquant que la victoire est méritée et que le travail mental compte pour l’avenir: « Je suis heureux pour les joueurs; ils avaient besoin de croire qu’ils pouvaient gagner dans ce genre de match. »
Il ajoute que rien n’est libéré, qu’il reste encore beaucoup à faire et qu’il faut garder le cap.
Enfin, Alonso loue Jude Bellingham pour son but et sa passe, et souligne l’énergie collective au Bernabéu.
Punchlines légères finales: comme dirait un grand humoriste, « le football, c’est l’art d’expliquer que tout va bien quand tout va mal, et de sourire quand on sort du terrain en parlant à la presse ».
Et si Vinícius envisage vraiment de partir, qu’il demande le billet aller-retour gratuit… avec option remboursable au prochain Clasico, parce que le suspense, lui, ne quitte jamais le vestiaire.