Afrique en ligne de mire: qui remportera le titre du meilleur joueur africain 2025 ?

Un duel promis au suspense

La CAF a officiellement dévoilé, ce mercredi, la liste des candidats au titre du meilleur joueur africain de l'année. Les détails pratiques sur la cérémonie restent flous, l’édition précédente se tenant au Maroc et les rumeurs évoquant un retour dans ce pays, sans confirmation officielle pour l’instant.

Les nommés et les favoris

La liste réunit dix joueurs de renom, avec en tête le Marocain Achraf Hakimi, étoile du Paris Saint-Germain et champion d’Europe, porteur du poids du prestige sur le continent. À ses côtés, le Marocain Osama Al-Maloui et l’Égyptien Mohamed Salah figurent parmi les favoris grâce à des saisons remarquables et des records personnels.

Parmi les autres prétendants, Franck Anguissa (Napoli), Serhou Guirassy (Dortmund), Denis Bouanga (Gabon) et Victor Osimhen (Napoli) apportent une diversité de profils et de nationalités, signe d’un continent riche en talents. Le collectif est complété par Pape Sarr et Eliman Ndiaï, puis par Edouard Mendy et André Onana, gardiens qui ont brillé entre les poteaux et les épreuves des ligues européennes.

Les nommés couvrent aussi des postes clés comme l’attaque et le milieu, démontrant un équilibre entre buteurs, passeurs et gardiens qui ont marqué la scène continentale au cours de la saison écoulée.

Au-delà des joueurs: les catégories et enjeux

Du côté des distinctions secondaires, la CAF a aussi évoqué le meilleur gardien, avec des favoris tels que Yassine Bounou et Munir El-Kabir, aux côtés d’autres noms qui ont brillé sous les couleurs de leurs clubs et de leurs nations. En outre, la catégorie « Meilleur entraîneur » réunit des techniciens issus notamment du Maroc, de l’Egypte et d’autres pays africains, reflétant la transversalité du football sur le continent.

Enfin, la liste des prétendants au meilleur sélection nationale d’Afrique met en avant des formations comme le Maroc, l’Égypte, le Nigeria et le Sénégal, confirmant la richesse des nations engagées dans les compétitions régionales et internationales.

En synthèse, dix noms, de nombreuses histoires et une cérémonie qui s’annonce aussi captivante qu’un match à suspense. Et si Hakimi ou Salah rejoignent le palmarès, on pourra dire que le football africain a bel et bien trouvé son nouveau porte-drapeau. Punchlines incluses: si Hakimi gagne, on dira que ses montées explosent plus vite que le wifi du vestiaire; si Salah l’emporte, les défenseurs présents devront s’accrocher à leurs crampons comme à un ballon passionné. Oui, le sport sait parfois être aussi drôle qu’un bon tir au but raté, mais toujours avec le sourire.”