Al-Ahli frappe fort: Vinicius Jr pourrait quitter le Real Madrid pour un transfert historique
10 octobre 2025
Négociations directes et montant record
L’administration d’Al-Ahli Jeddah a entamé des discussions directes en vue d’attirer Vinicius Jr., étoile du Real Madrid, lors du prochain mercato. Une proposition autour de 300 millions de livres sterling circule, suffisamment forte pour attirer l’attention des bookmakers et des fans.
Selon le réseau Andikalia, le club saoudien insiste pour officialiser le transfert si Vinicius accepte, tout en laissant au Real Madrid la décision finale quant à la mise en vente et au calendrier des départs.
Le Real Madrid serait toutefois prêt à tourner la page rapidement si le Brésilien refuse le nouveau contrat, conditionnant ainsi son avenir à la direction sportive et à l’évolution du projet global du club.
Vinicius Jr. est arrivé à Madrid en 2018 depuis Flamengo et est évalué autour de 200 millions d’euros selon Transfermarkt; son contrat actuel court jusqu’en 2027 et son statut de leader technique du Real demeure clé dans les discussions.
La presse espagnole indiquait déjà qu’un blocage pouvait exister sur le renouvellement du contrat, le joueur sollicitant environ 20 millions d’euros annuels, soit une hausse modérée par rapport à son salaire actuel.
Des tabloïds britanniques évoquent même un « à-coup » historique: le tabloïd The Sun annonce qu’une offre record pourrait dépasser toutes les cifras passées, avec une estimation proche de 350 millions d’euros pour séduire Vinicius et dépasser Neymar au classement des transferts mondiaux.
Contexte et implications pour le mercato
Au cœur des négociations, Al-Ahli est positionné comme le club le plus actif du moment, tandis que le Real Madrid doit évaluer les retombées sportives et financières d’un éventuel départ de l’un de ses cadres les plus en vue.
Le dossier prend une dimension géopolitique et économique du football, illustrant les ambitions croissantes des clubs saoudiens sur le marché des transferts et leur capacité à attirer les talents de premier plan, même s’ils restent encore des scénarios hypothétiques à ce stade.
Vinicius Jr. rejoint le Real Madrid depuis 2018 et possède une valeur élevée; son avenir dépendra de la conjoncture sportive, financière et de l’humeur du joueur, qui pourrait privilégier un nouveau défi à l’étranger.
Parallèlement, des clubs saoudiens et européens comparent leurs plans pour le mercato estival, et les clubs comme Al-Ahli multiplient les initiatives pour structurer leur équipe autour de stars internationales et d’un management sportif réactif.
La situation continue d’alimenter les débats sur les limites et les opportunités du financement massif des clubs du Golfe, et sur la manière dont ces investissements transforment le paysage du football mondial.
Enjeux, réactions et organisation du club
L’actualité dépeint des défis importants pour Al-Ahli, qui doit concilier compétitions nationales et ambitions continentales tout en gérant les attentes des fans après une série de résultats mitigés.
Le club a récemment nommé Roy Pedro Baraz au poste de directeur sportif, dans l’objectif de structurer un projet sportif durable et ambitieux pour les saisons à venir, et d’apporter une stabilité nécessaire en interne.
Les supporters attendent des résultats et une direction claire, notamment après une série de performances qui ont nourri le mécontentement autour de l’entraîneur Matias Jaissle et alimenté des spéculations sur le personnel technique.
À l’approche du mois d’octobre, le calendrier du club prévoit des défis importants en Ligue saoudienne et en compétitions asiatiques, avec des rencontres déterminantes qui pourraient influencer les choix de recrutement et les décisions stratégiques.
En résumé, ce dossier relie des enjeux sportifs, financiers et organisationnels qui pourraient redessiner le paysage du football saoudien et international dans les prochains mois.
Punchline Sniper 1: Si Vinicius signe, le seul dribble qui restera gratuit, c’est le calcul des budgets avant et après le transfert.
Punchline Sniper 2: Avec un tel montant, même mon porte-monnaie aimerait s’appeler « Real » – Realement riche, pas Real Madrid, juste en termes de rêves financiers.