Benítez en route pour Athènes : un retour spectaculaire sur le banc de Panathinaïkós
23 octobre 2025
Contexte et détails du transfert
Après près de 19 mois sans entraînement, Rafael Benítez s’apprête à reprendre le banc, cette fois en Grèce avec Panathinaïkós.
Le coach espagnol de 65 ans serait sur le point de signer un contrat avec le club grec, selon le quotidien Daily Mail, faisant de lui le 17e club parcouru dans une carrière européenne longue et dense.
Parcours et enjeux
Sa dernière expérience remonte à Celta Vigo, licencié en mars 2024 après une série de résultats décevants, avec seulement cinq victoires en 28 journées et une position fragile en bas de tableau.
Depuis, Benítez observe le football européen de loin, en attendant son prochain défi.
Selon des informations grecques, Panathinaïkós a trouvé un accord préliminaire avec lui pour un bail de deux ans, et le salaire annuel de 3,47 millions de livres le placerait parmi les entraîneurs les mieux rémunérés du championnat grec.
Cependant, les négociations incluent le report de sa prise de fonctions afin de finaliser sa relocation à Athènes; il ne dirigera pas le prochain match d’Europa League contre Feyenoord.
La direction et les supporters veulent voir Panathinaïkós renaître, avec Benítez, connu pour sa solidité défensive et son sens tactique, afin de ramener le club sur les podiums nationaux et en Europe.
Le club, qui a franchi la finale européenne en 1971, espère retrouver son prestige continental et une dynamique retrouvée sur le plan sportif.
Le contrat serait considéré comme record et les modalités discutées à Londres, en présence du président Yani Alafouzous, marqueraient une étape majeure dans la reconstruction du club.
En résumé, Benítez retrouve une compétition majeure et entame une nouvelle étape, visant un retour sur le toit du football grec et peut-être des sommets européens.
Cartographiant son palmarès, l’entraîneur a notamment marqué Valencia, Liverpool (Ligue des Champions 2005), Inter Milan, Chelsea, Napoli, Real Madrid, Newcastle United et Everton. Son passage récent en Espagne avec Celta Vigo reste une page moins glorieuse, mais n’efface pas l’envergure de son parcours.
Panathinaïkós parie sur cette expérience pour redonner au club sa place d’icône européenne et nationale, en alliant discipline défensive et toucher tactique afin de rééquilibrer l’effectif et opérer une remontée dans le classement grec et dans les compétitions européennes.
Pour les supporters, l’espoir est grand: le binôme Benítez – Panathinaïkós pourrait écrire une nouvelle histoire marquée par le retour sur le toit du football grec et une meilleure visibilité européenne.
Avec ce retour prometteur, le club compte mettre fin à une période de fluctuation et afficher des ambitions plus claires sur la scène continentale.
Et, comme toujours dans le football, l’équilibre entre solidité défensive et créativité offensive sera la clé pour transformer les promesses en titres et en performance durable.
Punchline 1 : Si Benítez relève Panathinaïkós, on dira que le club a enfin mis les bouchées doubles sur la tactique — et sur mon niveau de concentration devant mes mails, qui passe de zéro à héroïque en 90 minutes. Punchline 2 : Sinon, au pire on aura au moins un nouveau record de salaire pour le championnat grec — et moi, j’irai chercher mon propre record: le plus long temps passé sur ma chaise en mode “recherche de snacks” entre deux matchs.