Clasico : Madrid prend l’avantage et Wenger tacle la rivalité avec humour
27 octobre 2025
Wenger encense Madrid et la patte d'Alonso
Légendaire entraîneur Arsène Wenger a salué la performance du Real Madrid lors du Clasico, affirmant que les Merengues ont dominé clairement le Barça et louant le travail de Xabi Alonso à la tête du club.
Selon le quotidien AS, l’analyse du sommet du Bernabéu a envoûté les amateurs de football autour du monde, dans l’une des confrontations les plus regardées de la saison.
Des chiffres qui parlent et un respect mérité
Les Blancs ont pris les trois points, revenant sur Barcelone après que l’équipe de Hans Flick avait dominé les quatre rencontres du précédent exercice.
Opta indique que Madrid a tenté 23 tirs contre Barcelone, le record pour le premier Clasico d’un entraîneur dans la Liga depuis 2003-2004. Squawka rappelle que Alonso est le premier coach de Madrid à remporter son premier Clasico en Liga depuis Zidane en 2016.
Jude Bellingham est devenu le plus jeune Madrilène à marquer et à offrir une passe dans un Clasico au XXIe siècle, à 22 ans et 119 jours. Mbappé rejoint une liste prestigieuse face au Barça, aux côtés de Ronaldo et Benzema pour les statistiques d’objectifs.
La rencontre a aussi été marquée par des échanges tendus en fin de match avec des altercations près de la zone technique et des décisions arbitrales qui ont alimenté les discussions après le coup de sifflet final.
Conséquences et priorité en Liga
Le Real Madrid s’impose 2-1 au Bernabéu lors de la dixième journée de La Liga, mettant fin à une série de défaites et revenant en tête du classement avec 27 points.
Barcelone stagne à 22 points, alors que le duel pour le titre s’annonce encore ouvert. Le 2024-2025 restera dans les mémoires comme une période difficile pour Madrid dans les Clasicos, mais ce résultat ravive l’élan des Merengues.
Espaces pour le futur: Alonso est salué pour son équilibre trouvé, et Wenger laisse entrevoir que le projet madrilène peut se projeter vers un avenir prometteur.
Punchline 1 : Si le Clasico était une baguette, Madrid sortirait avec une croûte dorée et Barcelone se demanderait où est le fromage. Punchline 2 : Le seul hors-jeu dans cette histoire, c’est le temps qui passe : le Real a pris les devants et ne veut plus le lâcher.