Le Marocain Achraf Hakimi, défenseur du Paris Saint-Germain et pilier européen du club, a salué son coéquipier portugais Nuno Mendes, affirmant sa capacité à contenir le jeune Lamine Yamal avant le choc de la 2e journée de la Ligue des champions, prévu demain à Barcelone sur le terrain de Montjuïc.
Hakimi, âgé de 26 ans, a pris la parole lors d'une conférence de presse la veille de la rencontre qui se déroulera au stade Olímpic Lluís Companys de Montjuïc.
Il a expliqué que la force de leur équipe réside dans la coopération mutuelle et qu'ils feront tout pour éviter les situations en individuel, car Yamal peut être imparable, et Mendes a déjà démontré sa capacité à le contrer, avec le soutien des coéquipiers d’aile.
Le défenseur parisien a insisté sur le fait que l'union du groupe est clé et que l'aide à Mendes sera primordiale pour limiter les occasions de Yamal.
Les enjeux tactiques et le duel Hakimi-Yamal
En évoquant les similitudes entre les styles des deux équipes, Hakimi a estimé qu'il n'y avait pas de différence majeure entre l'approche du favori du Bayern Hans Flick à Barcelone et celle de Luis Enrique à Paris.
Nous sommes deux équipes qui privilégions la possession et un jeu de caractère. Nous n’aimons pas courir après l’adversaire; celui qui conserve le ballon crée le plus d’occasions. L’essentiel est de rester patient.
Par ailleurs, Enríque a affirmé que son équipe cherche les résultats et non les excuses; Barcelone doit composer avec diverses absences comme Dembélé, Khvicha Kvaratskhelia et le capitaine Marquinhos.
Le coach de 55 ans a aussi réaffirmé: « Il existe différentes façons de voir les blessures, mais on cherche les résultats plutôt que les excuses. Nous visons les résultats ».
Des doutes subsistent sur la participation des milieux Vitinha, João Neves et Fabian Ruiz en raison de soucis physiques.
Il a ajouté: « Franchement, je ne sais pas. Il faut attendre l’entraînement ce soir. Notre mentalité est de ne pas prendre de risques, et les décisions reviendront surtout aux joueurs pour qu’ils se sentent prêts ».
Il a poursuivi: « C’est un match important mais pas décisif. Nous aurons une séance d’entraînement et demain nous verrons l’état des joueurs. Beaucoup peuvent jouer. »
Le discours de l’ancien entraîneur de Barcelone sur ce duel est clair: « Ce sera un match entre deux équipes à l’esprit offensif; la possession sera la clé ».
Sur le plan tactique, Barcelone, sous Flick, cherche à moderniser son identité: plus rapide dans les transitions, pressing plus haut et construction plus fluide, avec des jeunes comme Pedri et Gavi, et le duo Yamal-Lewandowski pour conclure les actions.
À Paris, Enríque poursuit son projet après le départ de Mbappé, qui lui offre davantage de liberté dans l’organisation collective. Vitinha est devenu pivot dynamique et l’équipe est en reconstruction.
Barcelone veut aussi démontrer une philosophie renouvelée: vitesse, flexibilité et pressing soutenu, soutenus par Balde et Conde qui montent participer à l’attaque, tandis que les milieux veillent à l’équilibre.
Le principe du pressing après perte est mis en avant: l’équipe se replie en masse presque instantanément pour limiter les contres, ce qui demande concentration et condition physique.
Des regards vers des moments mémorables entourent la rencontre: Barcelone-PSG demeure une affiche historique, alimentée par les souvenirs de la remontada et le poids psychologique des duels, malgré les changements d’effectif.
Le duel met aussi en lumière une confrontation entre Lamine Yamal et Nuno Mendes: Yamal est présenté comme l’un des adversaires les plus redoutables, et Mendes est réputé pour sa capacité à fermer les espaces tout en lançant l’offensive.
Ce duel dépasse les gestes techniques et devient un test d’équilibre: Yamal doit aider à la récupération lorsque le ballon est perdu, tandis que Mendes doit équilibrer attaque et couverture.
Punchlines finales: dans ce match, Hakimi vise clair et précis; et si Yamal déjoue les défenseurs, on assistera à des gestes techniques qui piquent autant qu’une bonne blague sur le terrain.
Punchline 2: si le football était un jeu vidéo, Yamal serait dépeint comme le boss final — et Hakimi trouverait toujours le fusil à pompe du timing parfait pour tourner la scène à son avantage.