Mondial 2026: les 48 prétendants, les hôtes et le calendrier qui fait trembler les supporters

Quand démarre la Coupe du Monde 2026 en Amérique du Nord ?

La Coupe du Monde 2026 se déroulera aux États‑Unis, au Canada et au Mexique, avec un coup d’envoi prévu le 11 juin 2026 et une clôture le 19 juillet 2026. Après une édition 2022 en hiver, la compétition repasse en été et s’étale sur environ un mois, avec des stades répartis sur trois pays et un soleil estival qui donne envie d’un maillot léger et d’un snack au bord du terrain.

Cette édition marque aussi l’entrée dans une ère nouvelle: 48 équipes participeront, visant à multiplier les affiches et les rencontres potentiellement historiques, tout en apportant une dose supplémentaire de suspense à chaque phase de qualification.

Combien d’équipes participeront au Mondial 2026 ?

Le format passe à 48 équipes, réparties comme suit: Europe 16 places, Afrique 9, Asie 8, Amérique du Sud 6, Amérique du Nord 6, Océanie 1 et deux places via les barrages mondiaux. Avec l’hôte réparti sur trois pays, on prévoit des ajustements et des barrages pour déterminer les dernières places disponibles, afin de maintenir l’équilibre et le poids des continents sur le tableau final.

Sur le papier, cela promet des groupes plus ouverts, des affiches inédites et, espérons-le, moins de jours sans football pendant les couloirs des qualifications continentales.

Quelles équipes sont déjà qualifiées pour le Mondial 2026 ?

Les pays hôtes — Canada, États‑Unis et Mexique — sont automatiquement qualifiés. Le reste des places sera attribué via les qualifications continentales et les éventuels barrages mondiaux. Parmi les équipes déjà évoquées comme qualifiées ou candidates à date, on retrouve le Japon, l’Iran, l’Ouzbékistan, la Jordanie et la Corée du Sud en Asie; l’Australie; l’Argentine et le Brésil; l’Équateur et la Colombie; l’Uruguay et le Paraguay en Amérique du Sud; le Maroc et la Tunisie ainsi que l’Égypte en Afrique; et enfin la Nouvelle‑Zélande en Océanie. Ces listes évoluent au fur et à mesure que les matches de qualification avancent, sans parler des éventuels ajustements après les barrages mondiaux.

En clair: le spectacle est loin d’être bouclé, et chaque nation encore en course peut écrire une page d’histoire sur le chemin menant au coup d’envoi estival, avec, en invité surprise, peut-être une tournée de dramatiques fins de match et des célébrations qui feront vibrer les tribunes et les salons du monde entier. Et si l’on croit les pronostics, préparez-vous à voir des scènes dignes d’un festival de buts et de merges d’analyses dans les studios télévisés.

Et lorsque le doute s’installe, rappelons que le football est un sport qui aime les surprises: plus les enjeux grandissent, plus les histoires deviennent folles, et les drapeaux se lèvent au coup d’envoi comme des feux d’artifice dans une nuit d’été. Punchline: si les listes de qualifiés étaient des jeux télé, on serait tous en mode “pré-paiement” pour les prolongations— mais en vrai, on est tous là pour le spectacle. Deuxième punchline: entre les continents et les continents de chiffres, le seul plan qui tient la route, c’est celui des fans qui suivent chaque coup de sifflet et chaque suspense jusqu’au dernier penalty.