Quand les Atlas s’envolent: le Maroc U17 vise une nouvelle démonstration face à l’Amérique U17

Retour en forme et nouvel élan

Le duel Maroc-USA U17 refait surface dans le Mondial U17 qui se déroule au Qatar, au tour des 16es de finale, et promet une confrontation chargée de revanche et de promesse pour la jeune génération marocaine.

Cette rencontre marque la troisième opposition entre les deux nations dans les catégories jeunes sur une même année, un signe fort des évolutions récentes des deux programmes. Après des débuts difficiles, les « Lions de l’Atlas » recherchent une troisième victoire d’affilée et veulent confirmer leur stabilité face à une Amérique qui a terminé en tête de son groupe, mais a inscrit peu de buts jusqu’ici.

Retour en forme et nouvel élan

L’équipe marocaine U17 a connu un départ calamiteux avec des défaites lourdes contre le Japon et le Portugal, mais a su rebondir avec une qualification qui a semblé inatteignable au départ, avant de prendre de l’élan dans la compétition et d’y croire jusqu’au bout.

Le tirage a été clément pour les Marocains, les épargnant des puissances habituelles telles que le Brésil, l’Argentine et la France. En revanche, ils croisent une USA qui a dominé son groupe sans encaisser, mais qui demeure peu prolifique offensivement, ce qui promet une rencontre équilibrée offensivement des deux côtés.

Cette avance offensive marocaine — avec l’un des meilleurs records du tournoi — donne une confiance nouvelle au coach Nabyl Bahha, récemment sorti d’un passage délicat après les premières revers; il a affirmé à la télévision sportive marocaine que le tournoi ne fait que commencer pour le Maroc et que ses joueurs ont retrouvé l’esprit de conquête propre au football marocain des dernières années.

« Il n’y a pas deux sans trois »

La rencontre Maroc-USA en 16e de finale sera la troisième confrontation entre les deux sélections dans des catégories d’âge différentes sur un court laps de temps, et toutes dans le cadre de grands rendez-vous mondiaux.

L’an dernier, le Maroc avait impressionné en battant les États-Unis dans les Jeux Olympiques pour les moins de 23 ans, avant que les jeunes marocains ne confirment cette tendance par une nouvelle victoire face à l’Amérique lors d’un autre Mondial de jeunes, illustrant une courbe ascendante des écoles marocaines de formation.

Faits marquants: les États-Unis ont été dirigés par le même entraîneur, Métr ovich (nom fictif pour la reformulation), sur toutes les équipes de jeunes rencontrées, tandis que le Maroc a été confié à des entraîneurs locaux, notamment Tarik Saktioui puis Nabyl Bahha, illustrant une différence de trajectoire entre les deux structures et renforçant l’idée d’une domination marocaine sur ce créneau.

Les observateurs évoquent une nouvelle opportunité pour le Maroc de montrer sa suprématie et son savoir-faire collectif, l’Amérique étant présentée par certains cercles marocains comme une « mascotte porte-bonheur » de leur parcours dans les compétitions mondiales, tant les victoires récentes restent françaises et marquées par la solidité collective.

Confiance Bahha

Bahha a réagi avec prudence et assurance à l’issue du tirage, déclarant: « Nous avons atteint une phase où l’erreur est interdite et où l’éthique de la qualification exige de rester concentrés. Nous connaissons bien l’Amérique: solide, disciplinée et efficiente, même s’ils ne marquent pas énormément, ils savent verrouiller l’adversaire et utilisent les transitions avec efficacité ».

Il a ajouté: « Le tirage n’est pas idéal, mais il est réaliste; je crois en mes joueurs après leur belle performance face à la Calédonie, et je suis convaincu que notre Mondial commence seulement. Nous comptons sur le soutien des fans ici à Qatar pour jouer avec équilibre et détermination ». Bahha a aussi évoqué les confrontations précédentes: « Oui, on les domine récemment, mais chaque match est une histoire différente; pas de place pour l’orgueil ou la facilité ».

Le rôle de Lopin/Valdoux au-devant

Des sources « Koora » indiquent l’attention étroite du président de la Fédération marocaine, Fawzi Lqaga, qui suit l’équipe de près et a tenu à saluer les jeunes comme « la génération du futur » prête à faire progresser le football marocain au niveau mondial, tout en les exhortant à poursuivre sur les traces des champions du Mondial de Chile.

Des échanges répétés entre le sélectionneur Bahha et la fédération ont renforcé la nécessité de maintenir la confiance et l’équilibre mental, et d’accepter les pressions qui ont accompagné les premiers revers contre le Portugal et le Japon, en insistant sur le maintien de l’esprit guerrier qui a valu le récent sacre africain.

Dynamique et soutien populaire

Par ailleurs, les fans marocains présents au Qatar s’attendent à un soutien massif pour l’équipe junior dans ce duel crucial. Bahha a aussi mis en place des mécanismes pour alléger la pression des joueurs, leur offrant liberté mentale et concentration dans un contexte d’équipe coordonnée et disciplinée.

Le public local et la diaspora devraient se mobiliser en masse pour pousser les jeunes Atlas vers une performance historique et leur permettre de poursuivre l’aventure mondiale avec sérénité et enthousiasme.

Biencouraging note: L’équipe marocaine s’appuie sur un bloc compact et un sens collectif aiguisé, des qualités qui pourraient faire la différence dans une rencontre aussi dense tactiquement et physiquement.

Confrontation et enjeux

Ce 16e de finale oppose deux programmes jeunes qui ont parcouru des trajectoires distinctes mais convergentes en terme de potentiel. Le Maroc se présente comme une équipe en progression constante, capable de convertir ses occasions et de résister à la pression, tandis que les États-Unis misent sur un plan de jeu structuré, une organisation défensive et une efficacité limitée mais régulière dans les phases clés.

Le verdict pourrait dépendre de la capacité des Marocains à poursuivre leur domination croissante sur les duels directs et à exploiter les espaces laissés par une Amérique qui préfère les montées rapides et les contre-attaques tranchantes. La rencontre promet également un public plus large et une visibilité accrue pour les talents émergents qui aspirent à des carrières internationales.

En somme, l’enjeu est clair: écrire une nouvelle page positive dans l’histoire des jeunes Marocains et s’affirmer face à une Amérique qui a les moyens de réagir, mais qui doit démontrer sa capacité à percer dans ce type de tournoi planétaire.

Et pour ceux qui s’inquiètent du scénario, voici deux petites piques légères pour détendre l’atmosphère: - Blague de sniper 1: “L’Amérique a peut-être la mascotte du mérite, mais le Maroc a le cerveau du plan: là où l’on marie esprit collectif et précision, l’adversaire n’a qu’à bien se tenir.” - Blague de sniper 2: “Si le football était une fusée, les États-Unis auraient le carburant, mais le Maroc connaît parfaitement la trajectoire: brûlons les ailes et hold the line.”