Quand Nashat Akram appelle à faire vibrer Doha: la Coupe arabe comme cœur battant de l’Irak et de la région
1 octobre 2025
Contexte et enjeux
Confirmé par l’ancien milieu de terrain Nashat Akram, le tournoi Coupe arabe qui se déroule à Doha est une vitrine majeure pour mettre en lumière la passion des supporters à travers la région, particulièrement les partisans des Lions d'Irak qui attendent avec enthousiasme de soutenir leur équipe durant la période du 1er au 18 décembre prochain.
Dans les propos rapportés au centre d’information de la Coupe arabe 2025, Akram ajoute: « Les fans irakiens seront le cœur battant de cette édition; on les entend déjà dans les stades, et leur énergie portera les joueurs. »
La cellule organisatrice a dévoilé les tarifs: tickets à partir de 25 rials qataris; l’option « Soutiens ton équipe » permet d’assister à tous les matchs de la phase de groupes; les billets se vendent numériquement et incluent des places dédiées aux personnes à mobilité réduite.
Hommage au passé et espoirs futurs
Akram, surnommé le « Maestro » pour ses gestes techniques, rappelle que la Coupe arabe est la perle des compétitions arabes et un tremplin pour célébrer la culture et l’identité de la région. « Le Qatar a su préserver l’identité arabe et islamique en accueillant des événements majeurs; nous sommes fiers de voir notre culture briller sur une scène aussi globale », affirme-t-il.
Le futur: les jeunes talents irakiens auront à cœur de hisser le drapeau et d’écrire une nouvelle page de l’histoire du football irakien sur les terrains qatariens.
Souvent cité parmi les meilleurs joueurs irakiens de tous les temps, Akram ajoute: « La Coupe arabe offre une tribune idéale pour les nations et les joueurs qui se retiennent de déployer tout leur talent pour leur pays. »
Le tirage a placé l’Irak dans le groupe 4, aux côtés de l’Algérie, tenants du titre, et les vainqueurs des rencontres Bahréin vs Djibouti et Soudan vs Liban.
Il poursuit: « Nos joueurs évolueront dans des stades qui ont accueilli des Coupes du monde, et les équipes auront des installations qui rivalisent avec celles des pays les plus évolués du football. Le Qatar a fixé des standards en matière d’infrastructures, un vrai motif de fierté pour nous tous. »
La Coupe arabe réunit 16 nations qui concourent pour le trophée. Neuf équipes se qualifient directement via le classement FIFA, tandis que les sept autres passent par des barrages prévus les 25 et 26 novembre au Qatar.
Le match d’ouverture aura lieu au stade Al Bayt le 1er décembre à 19h30, Qatar face au vainqueur du match Palestine-Libye. La finale est programmée le 18 décembre au stade Lusail. Les stades listés incluent Al Bayt, Education City, Khalifa International et le stade 974.
En parallèle, la Coupe arabe s’inscrit dans une série d’événements que le Qatar prépare pour la fin de l’année, notamment la Coupe du Monde U17 du 3 au 27 novembre.
La commission locale et la FIFA annoncent que le Qatar accueillera les derniers matchs de la Coupe des clubs au monde 2025, avec des finales les 10, 13 et 17 décembre, entre les vainqueurs de diverses compétitions continentales et nationaux. Le calendrier prévoit que Doha soit au rendez-vous avec trois finales majeures et une vitrine de l’élite du football mondial.
Le pays avait déjà accueilli des finales similaires en 2019, 2020 et 2024, lorsque le Real Madrid avait triomphé au Lusail. La troisième rencontre mettra face à face le vainqueur CONCACAF 2025 Cruz Azul et le vainqueur Libertadores 2025, avant que le vainqueur n’affronte le champion de la Ligue des champions, le Paris Saint-Germain, pour un titre suprême.
Et pour ceux qui cherchent des repères, le texte rappelle que les stades et les infrastructures restent au cœur d’un modèle d’organisation qui cherche à allier spectacle et accessibilité pour tous les fans.
Punchline Sniper 1: Si le foot était une arme, la Coupe arabe serait un fusil à percussion — chaque chant peut détonner plus fort que le coup d’un tir au but.
Punchline Sniper 2: Au fond, les supporters ne demandent pas des actions détonantes, juste un Wi-Fi qui ne se déconnecte pas lorsque le but tombe — et ça, c’est du vrai hooliganisme numérique.