Sabalenka et Gauff brillent à Riyad; Djokovic éblouit Athènes

Sabalenka et Gauff en démonstration à Riyad

Aujourd’hui à Riyad, Aryna Sabalenka, leader incontestée, a dominé Jessica Pegula en trois sets, 6-4, 2-6, 6-3, après près de deux heures de duel. Cette victoire prolonge son invincibilité dans la capitale saoudienne et la rapproche des demi-finales dans une épreuve où chaque point compte.

De son côté, Coco Gauff a pris le meilleur sur Jasmine Paolini en deux manches, 6-3, 6-2, démontrant une fois de plus sa capacité à se mettre rapidement dans le rythme et à prendre l’ascendant dans les moments chauds du match.

Sabalenka mène un bilan favorable face à Pegula (9 victoires en 12 duels), et leurs affrontements récents sont devenus des duels quasi décisifs. Le contexte de la compétition, devenu plus serré que prévu, promet encore plusieurs chapitres passionnants entre ces deux grandes joueuses sur la scène de Riyad.

Dans l’autre rencontre du jour, Gauff, âgée de 21 ans et la plus jeune joueuse encore en lice en simple, reste bien placée pour une qualification qui pourrait dépendre de son duel final du groupe contre Sabalenka. Le suspense demeure intact et les regards se tournent déjà vers les matchs décisifs à venir, avec une claire envie de basculer le dernier carré.

Djokovic démarre en beauté à Athènes

À Athènes, Novak Djokovic a ouvert son parcours dans le tournoi 250 points par une victoire convaincante sur Alejandro Tabildo, 7-6, 6-1, et se qualifie ainsi pour les quarts de finale, en attendant le vainqueur de la rencontre entre Elliott Spizer et Nuno Borges.

D’autres résultats du deuxième tour ont confirmé la forme des Américains et des joueurs européens: Sebastián Korda a écarté Damir Dzumhur 4-6, 6-3, 6-3, Marcus Giron a battu Pedro Martínez 6-4, 6-1, et Janik Hanfmann s’est imposé face à Iván Ivánov 6-4, 6-2. Tomás Etcheverry a quant à lui vaincu Mackenzie McDonald dans un combat au suspense intense, 6-7, 7-6, 6-3.

Le tableau masculin et féminin s’écrit sous le signe des records et des promesses, avec des joueuses et joueurs qui semblent prêts à tout pour prendre le lead dans leurs groupes respectifs et lancer la suite de la saison sur une note haute.

Et si le tennis était une série, ce serait une sitcom dramatique sans cesse réglée au cordeau: ça sert, ça va, ça revient, et ça vous fait rire quand même (parfois jaune) — mais cette fois, tout le monde veut être le dernier à quitter le court.