Vazquez trébuche pas: Zidane, pilier de ma carrière et l’affaire Negreira qui bat tous les records dans le vestiaire du Real

Parcours et transition : Real Madrid, Leverkusen et la Bundesliga

Lucas Vazquez, ancien joueur du Real Madrid, revient sur les coulisses de son départ et sur son nouvel élan en Bundesliga, tout en livrant son regard sur l’arbitrage en Espagne et sur l’affaire Negreira, lors d’une interview avec Cadena COPE.

L’ancien Merengue parle avec gratitude et réalisme, indiquant qu’il entame une étape nouvelle, loin de la pression, mais avec l’esprit compétitif qui l’a accompagné depuis ses débuts au Real.

Il décrit le Real comme le sommet et affirme être heureux d’un nouveau défi dans une équipe formidable. Le football en Allemagne est différent, mais le travail et la discipline restent les bases.

Concernant les offres reçues, il précise avoir privilégié rester au plus haut niveau plutôt que de partir vers le Moyen-Orient.

Il confie qu’il a reçu plusieurs propositions, mais a choisi de rester parmi l’élite; il ne prévoit pas de revenir en Espagne et veut continuer à jouer au plus haut niveau.

Sur l’arbitrage et l’affaire Negreira, Vazquez affirme que l’arbitrage en Allemagne est différent et que l’Espagne tolère plus les avertissements, mais que certaines choses semblent difficiles à croire.

Il rappelle que l’affaire Negreira ne peut être expliquée facilement; dans les vestiaires du Real Madrid, on en parlait beaucoup. Les contenus critiques envers l’arbitre peuvent influencer les décisions, mais le débat mérite une discussion sérieuse.

Concernant sa dernière saison au Real, il ne regrette pas; tout est une partie du football, même lorsque tout ne se passe pas comme prévu.

Il souligne des critiques et des chiffres : environ 400 matchs, 227 titularisations et de nombreux titres; la presse est parfois trop sévère, mais aucun joueur n’échappe à la critique, même pas Mbappé, Ronaldo, Benzema, Ramos ou Modric.

Il évoque ses relations dans le vestiaire : des personnes ordinaires qui aiment les choses simples et des moments forts partagés ensemble.

Son souvenir le plus heureux reste la première Ligue des Champions remportée en Milan en 2016, célébrant avec sa famille au San Siro.

Sur sa décision de partir, il explique l’avoir pressentie dès janvier; il ne voulait pas partir mais a compris que le moment était venu. Il a senti que c’était la bonne option pour lui et le club.

Il n’a pas discuté avec Xabi Alonso pour le transfert et a été informé par Jose Angel Sanchez; il était en paix avec ses choix et son rôle envers le club.

Il loue l’expérience courte avec Alonso, notamment en Coupe du Monde des clubs; il a beaucoup appris et a été traité avec respect.

Il se souvient aussi de la séance de tirs au but en finale de Milan contre l’Atletico; il était très confiant et a demandé à Zidane de tirer, convaincu que la confiance fait basculer le match.

Concernant l’entraîneur qui a le plus compté, il répond sans hésiter : Zidane, l’élément clé de sa carrière. Il a travaillé aussi avec Ancelotti, Benitez et Lopetegui, mais Zidane était unique et spécial.

Quant à ses coéquipiers qui l’ont marqué, Vazquez cite les grands : Nacho, Carvajal, Modric, Ramos, Kroos, Asensio; mais professionnellement, Ramos et Ronaldo ont incarné une culture du travail sans égale.

Enfin, il décrit Carvajal comme le véritable capitaine du Real Madrid aujourd’hui et comprend les débats autour du rôle de Fede Valverde au poste de latéral droit. Zidane l’a convaincu qu’il pouvait briller à ce poste et il avait raison.

En résumé, Vazquez tourne une page sans renier le passé : une histoire belle et partagée avec le Real et ses fans, prête à écrire un nouveau chapitre en Allemagne.

Punchlines et clin d’œil: On dit que les latéraux en Espagne actent les clips YouTube, ici c’est en Bundesliga que Vazquez coche les cases. Un autre conseil de Vazquez? Si le ballon ne veut pas rentrer, appelle Zidane; il sait faire des miracles avec une baguette de sifflets et quelques réglages.