Contexte et enjeux du duel
Le journaliste saoudien Walid Al-Faraj a averti les supporters de l’équipe nationale avant le rendez-vous décisif contre l’Irak, dans le cadre du barrage asiatique pour la Coupe du Monde 2026.
Le duel entre l’Arabie Saoudite et l’Irak est programmé mardi à Jeddah et doit départager la tête du groupe B afin d’obtenir une qualification directe pour le Mondial, sans passer par des tours supplémentaires.
Avant ce match, Al-Faraj a évoqué l’ambiance des tribunes, où les couleurs des clubs s’entremêlent, et il a souligné que des tensions existent avant cette rencontre cruciale.
Dans une intervention télévisée, il a déclaré : « Certains fans adverses ne souhaitent pas voir des succès pour le football saoudien, comme l’attribution du prix du meilleur joueur asiatique à Salem Al-Dosari ; c’est compréhensible, mais le problème est que certains fans d’autres clubs saoudiens vont dans le même sens. »
Il a ajouté que la réalité sportive saoudienne et les réactions des supporters ne reflètent pas une simple finale de mardi, car les distractions locales et les polémiques persistent.
Préparatifs, ambiance et éléments clés
Al-Faraj insiste sur le fait que la qualification via ce barrage difficile est l’objectif commun, même s’un petit groupe semble moins engagé dans cette ambition et préfère certains joueurs.
Il a poursuivi en affirmant que la popularité du football national s’est quelque peu érodée par les déceptions récentes et que l’équipe a besoin d’un sursaut collectif pour regagner du terrain et de l’élan.
Le paragraphe clé rappelle aussi l’exemple du Maroc lors du Mondial 2022, dont l’exploit en demi-finale a élevé les attentes dans le monde arabe et rendu plus difficile la tâche pour les autres équipes arabes voulant atteindre des sommets similaires.
Selon lui, l’objectif n’est pas seulement de se qualifier, mais d’atteindre les quarts de finale, compte tenu du niveau d’investissement et des ressources disponibles.
Concernant le duel avec l’Irak, la tactique du sélectionneur Hervé Renard serait axée sur la recherche de la victoire, sans s’appuyer sur de simples probabilités : il faut prendre le match par le bon bout.
En outre, le stade Principe Abdullah (anciennement connu sous le nom de « Johâra Al-Masha’a ») à Jeddah est prêt à accueillir l’affrontement, promettant une ambiance favorable selon les dernières analyses des médias locaux.
La préparation physique et mentale se poursuit, avec une attention particulière à Abu Al-Shamat, dont le retour éventuel après une blessure est surveillé de près : il a été déclaré apte à jouer après un contrôle médical qui a confirmé un simple fatigue, et il a même inscrit son premier but international en une première mi-temps convaincante contre l’Indonésie.
Au total, l’équipe nationale compte sur un équilibre entre rigueur tactique et efficacité offensive, alors que l’évaluation des joueurs lors de l’ouverture du barrage contre l’Indonésie a mis en lumière la montée en puissance de certains éléments clés comme Bashar Al-Dosari et Firas Al-Breekane.
Le compte rendu indique aussi que la necessária equilibrille de la sélection est de succès garanti si elle parvient à arracher un match nul ou une victoire lors de ce rendez-vous crucial.
Punchlines finales pour détendre l’atmosphère: (1) Si la précision des tirs était une compétence olympique, on serait déjà champions sans jouer. (2) Et si le suspense était un sport, ce match serait en catégorie “sniper”: un seul coup donné au bon endroit et tout le stade retient son souffle.
