Avant Norvège, l’Italie en blessure

Contexte et blessures

L’attaquant Nicolò Cambiaghi du Bologna souffre d’une légère blessure au mollet et manquera les rencontres contre Moldavie et Norvège. Riccardo Calafiori s’est entraîné séparément à Coverciano mercredi en raison d’un souci à la hanche, et son absence est anticipée pour Moldova, avec un retour envisagé pour le rendez-vous du week-end face à la Norvège.

L’Italie prépare une rencontre décisive jeudi en qualifications pour le Mondial 2026 contre Moldova lorsque le sélectionneur Jénaro Gattuso apprend une mauvaise nouvelle matinale.

Selon TuttoMercato, Cambiaghi retournera à son club après une blessure légère au mollet, ce qui le retire du programme immédiat des Azzurri.

Le joueur rejoint le groupe en tant que remplaçant mis à l’écart en raison de sa blessure, et s’ajoute au contexte des absences déjà évoquées en défense et au milieu.

Par ailleurs, Kalafiore s’est entraîné seul à Coverciano, faute de pouvoir participer pleinement aux séances collectives, ce qui retarde son retour dans le dispositif.

Le staff italien précise que Kalafiore ne participera pas au match de Moldova et cherchera à retrouver sa condition pour le duel à domicile contre la Norvège, prévu ce week-end.

Les médias indiquent que la délégation italienne prend la route vers Moldova aujourd’hui et que Gattuso dévoilera les dernières nouvelles lors d’un point presse prévu en soirée.

Réconstruction du groupe

Le sélectionneur insiste sur l’importance de bâtir une cohésion hors du terrain afin de préparer les éliminatoires. Depuis juin, un changement de cap a lancé une nouvelle dynamique pour l’équipe nationale.

Plusieurs sources en Italie, y compris la Repubblica, rapportent que Gattuso travaille activement à instaurer une entente solide et durable, ce qui manquait selon certains observateurs sous le mandat précédent.

Beaucoup de cadres ne s’entendaient pas avec l’ancien entraîneur, et le nouveau staff cherche à éviter les erreurs du passé tout en avançant avec sérénité et discipline.

Alors que les matchs de qualification approchent, la Norvège est pressentie pour dominer le groupe 9 et viser une qualification directe, laissant l’Italie dépendre de résultats solides et d’un repositionnement collectif efficace.

La défaite initiale face à la Norvège a coûté le poste à l’ancien entraîneur, mais la confiance demeure: le futur est orienté vers une participation à la Coupe du Monde 2026 disputée aux États-Unis, au Mexique et au Canada.

Perspectives et chiffres

L’équipe renaît sous la conduite de Gattuso, qui a connu quatre matches probants avec des victoires convaincantes et un examen complet des forces et des faiblesses.

En termes de résultats, les Azzurri ont enregistré 4 victoires sur leurs six premières sorties sous le nouveau coach, avec 18 buts marqués et seulement 8 encaissés à ce stade.

Notamment, Gattuso a établi une série impressionnante en trois matchs de suite avec au moins trois buts marqués, poursuivant une dynamique forte qui n’avait pas été vue depuis 1949 sous certains coaches historiques, et qui se poursuit après quatre sorties, selon les statistiques disponibles.

Les lecteurs retiennent qu’un nouveau chapitre s’écrit à Coverciano, et que le travail d’équipe sera le levier principal pour franchir les prochaines étapes du parcours qualificatif.

Cap sur Moldova et résilience: les Azurri veulent faire oublier les ratés passés et démontrer une progression tangible sur le chemin du Mondial 2026.

A noter

Les adieux à l’ancien sélectionneur et les premiers pas du nouveau relais s’inscrivent dans une logique de reconstruction, avec un calendrier chargé et des objectifs ambitieux pour les prochaines échéances.

Orsolini a récemment souligné, lors d’un point presse relayé par des médias italiens, que l’entame d’un travail serein et discipliné peut transformer une équipe marginalisée en un groupe compétitif et soudé, capable d’aller loin dans les éliminatoires.

Selon les propos d’Orsolini, “l’arrivée de Gattuso a apporté une bouffée d’air et une certaine stabilité”, et l’équipe se concentre sur le travail, l’envie et l’énergie pour réaliser les rêves de chacun.

Pour résumer, l’Italie entame une période charnière, avec Coverciano comme plaque tournante et Moldova comme premier examen avant un choc attendu contre la Norvège, dans une dynamique de reconstruction guidée par Gattuso et son staff.

Chiffres et records

En ouverture du cycle, la défaite lourde contre la Norvège a été lourde, mais le parcours s’est rapidement réorienté avec une victoire sur Moldova 2-0 grâce à un doublé de Giacomo Raspadori et Andrea Campiasso, permettant à l’équipe de repartir sur de bonnes bases et de mettre fin à une passe décevante sous l’ancien entraîneur.

Depuis lors, l’Italie, sous Gattuso, a enchaîné les réussites et affiché une solidité retrouvée. Le chiffre global montre 5 victoires en 6 matches, 18 buts inscrits et 8 encaissés, avec une série qui témoigne d’un renouveau et d’un esprit collectif renforcé.

Cette dynamique se reflète dans les performances et les chiffres historiques: Gattuso affiche désormais un palmarès qui, après quatre sorties, surpasse certains records antérieurs pour les débuts d’un entraîneur italien et assure un élan favorable pour les prochains rendez-vous.

Punchlines finales

Punchline 1: Si la défense trébuche encore, on appellera ça une masterclass en suspense et en espresso raté — le public appréciera tout de même le spectacle.

Punchline 2: Comme dirait un humoriste de renom: “Quand l’équipe est en reconstruction, chaque but devient une blague qui fait rire les supporters, mais pas l’adversaire.”