Grealish ouvre son cœur : pourquoi Manchester City n’exploitait pas tout son potentiel, et son nouveau départ qui renaît à Everton
28 septembre 2025

Grealish: confession sur City et renaissance à Everton
Jack Grealish a surpris en admettant qu’il n’avait pas toujours aidé son équipe à Manchester City, évoquant des comportements hors du terrain qui ont pu peser sur son rendement.
Recruté en 2021 en provenance d’Aston Villa pour 100 millions de livres, il est devenu, à l’époque, le joueur le plus cher du club et l’un des plus surveillés du monde.
Quatre années sous Pep Guardiola lui ont permis de remporter le championnat anglais, la Ligue des champions et la Coupe de la Ligue, mais ses chiffres personnels restaient modestes: 17 buts en 157 matchs.
Grealish précise que sa vie sociale et ses sorties ont parfois pris le pas sur le terrain, tout en affirmant qu’il n’y a pas qu’une seule raison à ses difficultés.
Âgé de 28 ans et prêté à Everton pour une saison, il a déjà offert quatre passes décisives en sept apparitions, montrant une confiance et une énergie retrouvées.
Selon lui, le coach David Moyes lui a donné la liberté nécessaire pour jouer sur l’aile gauche et s’exprimer sans contraintes excessives.
« Je joue mieux quand je sens qu’on m’aime », confie-t-il, ajoutant qu’il redécouvre le plaisir de se lever le matin avec le sourire et l’envie de jouer.
Il reconnaît aussi que l’environnement d’un grand club peut influencer le mental et le jeu, et qu’il n’explique pas tout par une faute unique de Manchester City.
Everton prépare la rencontre face à West Ham, en clôture de la sixième journée de Premier League, avec l’espoir de progresser au classement et de viser l’Europe.
Après 5 matches, les Toffees comptent 7 points et occupent la 12e place, montrant une dynamique positive après des années difficiles.
Pour Grealish, l’objectif est aussi international: revenir en sélection anglaise avant la Coupe du Monde 2026, après avoir été écarté en Euro 2024 par Gareth Southgate.
Depuis l’arrivée de Moyes et les recrutements estivaux, Everton donne une impression de renaissance et se projette vers une nouvelle étape.
Les performances et l’alchimie entre Grealish et ses nouveaux partenaires permettent à l’équipe de ressentir une énergie nouvelle au milieu et en attaque.
Dans une interview relayée par Sky Sports, il affirme vouloir gagner quelque chose et viser l’Europe, tout en restant réaliste sur le chemin à parcourir.
Selon lui, terminer septième ou huitième pourrait suffire à assurer une qualification européenne, un objectif ambitieux mais atteignable pour le club et ses supporters.
Les propos de Grealish rejoignent les ambitions exprimées par Moyes cet été: ramener Everton sur la scène européenne après une longue absence.
Aujourd’hui, l’optimisme est tangible à Liverpool et dans le nord-ouest, et la collaboration entre Moyes et Grealish redonne espoir à un club qui cherche à écrire une nouvelle page de son histoire.
En somme, Grealish explore une seconde chance à Everton, où liberté, amour du jeu et travail collectif se conjuguent pour écrire une nouvelle étape de sa carrière.
Et si l’opération réussit, ce sera peut-être le tournant qui prouvera que même les plus grands talents peuvent renaître ailleurs que sous les projecteurs habituels.
Punchline 1: Grealish dit aimer jouer quand on l’aime — on dirait que le vestiaire d’Everton vient d’ouvrir un nouveau mode “relation sérieuse avec le football”.
Punchline 2: Si Everton vise l’Europe, on dira que la seule latérale qui les sépare du continent, c’est… la motivation et un prêt convaincant. Oui, on rit, mais on regarde le classement!