Jésus en tête et Diyaïb déniche les meilleurs coachs du football saoudien
20 novembre 2025
Le regard de Diyaïb sur le royaume du football
Le Tunisien Tariq Diyaïb, star de l’ère d’Al-Ahli Jeddah et témoin de l’évolution du football saoudien, porte son attention sur les entraîneurs qui ont marqué l’histoire du pays. Il situe Jorge Jesus au cœur de sa réflexion, en soulignant une approche résolument offensive qui a façonné des matches mémorables dans le royaume. Diyaïb rappelle aussi ses propres années de joueur, puis sa carrière en dehors du terrain, et insiste sur l’importance d’ouvrir la porte aux talents locaux, symbole d’un club et d’une ligue qui avancent ensemble.
Selon lui, plusieurs noms ont laissé une empreinte durable, mais c’est celui qui a ouvert la voie aux entraîneurs nationaux qui mérite une place d’honneur dans cette discussion. L’idée n’est pas seulement de citer des stars internationales, mais aussi de reconnaître le travail des coaches locaux qui ont permis à la Saudi Pro League de gagner en crédibilité et en compétitivité internationale.
Diyaïb souligne que Khalil Al-Zayani a joué un rôle déterminant: il est celui qui a permis à l’entraînement national saoudien d’accéder à des niveaux plus élevés et a contribué à la réussite du pays sur la scène asiatique. Cet héritage est essentiel pour comprendre pourquoi les noms locaux restent au centre des débats, même lorsque des entraîneurs célèbres débarquent sur les bancs saoudiens.
Les noms stars dans la shortlist
Dans sa sélection, Diyaïb inclut Jorge Jesus, aujourd’hui à la tête du club Al-Nassr et ancienne figure du passé glorieux du football saoudien avec le club Al-Hilal. Il voit en Jesus une intelligence tactique brillante, une capacité à impulser une vue d’ensemble et une mentalité de vainqueur qui colle parfaitement à l’objectif du club: gagner. L’entraîneur portugais est décrit comme quelqu’un qui apporte des idées novatrices et un style de jeu toujours orienté vers l’offensive, capable de faire vibrer des tribunes pleines comme jamais.
Autres noms cités, Cosmin Olăroiu, qui a su imposer une présence physique et technique dans les clubs qu’il a dirigés. Ramón Díaz est aussi évoqué pour ses titres locaux et ses performances compétitives, prouvant que l’expérience internationale peut s’adapter au contexte saoudien tout en restant fidèle à un bloc de travail solide. Didi, l’ancien miraculé de l’Atlético Arguably? Non, Didi la personne ayant connu une période fructueuse en Arabie, est mentionné pour son bagage brésilien et sa capacité à faire progresser les équipes par le biais d’une excellente organisation collective. Enfin, l’Argentin Ramón Díaz et son approche des dynamiques de groupe viennent compléter ce panel, en démontrant l’importance de l’harmonie entre technique et esprit d’équipe.
Dans cette optique, Diyaïb évoque aussi un autre nom connu du Rocher du football saoudien: Simone Inzaghi. Selon lui, Inzaghi a connu des débuts prometteurs, mais n’a pas encore tout montré sur le long terme, et les évaluations restent ouvertes à mesure que la saison se poursuit et que les réglages entre style de jeu et identité du club trouvent leur rythme.
Un regard sur l’actualité et sur les objectifs
Au-delà des noms discutés, Diyaïb rappelle que les choses bougent sur le terrain: l’objectif est d’équilibrer les influences extérieures avec le développement d’un vivier local de talents, afin que le football saoudien reste compétitif et attrayant pour les supporters. En parallèle, le spécialiste rappelle les performances d’Inzaghi à l’époque où il avait pris les commandes et les défis encore présents pour que l’équipe soit au meilleur niveau lors des compétitions domestiques et continentales.
Sur le plan actuel, les clubs saoudiens poursuivent leurs campagnes avec des montagnes russes de résultats, mais l’élan collectif et la clarté des objectifs semblent être les fils conducteurs. L’accent est mis sur l’alignement des joueurs et des méthodes d’entraînement, afin que chaque entraîneur puisse exploiter pleinement le potentiel des effectifs et proposer un football attractif et efficace, que ce soit en Ligue Pro, en Coupe du Roi ou en compétitions asiatiques.
Enfin, l’actualité récente souligne que le championnat reste extrêmement compétitif: les droits de chaque club à être dans la lutte pour le titre, les places continentales et les défis des grands matchs continuent d’alimenter les conversations autour des choix des bancs et de l’identité du football saoudien de demain.
Et si l’on résume tout cela, on peut dire que Jorge Jesus est aujourd’hui sur le banc des favoris, que les entraîneurs saoudiens continuent de gagner du terrain, et que Tariq Diyaïb, avec son regard d’ancien joueur, garde un œil attentif sur l’évolution des dynamiques qui font de la Saudi Pro League une référence du football moderne. Maintenant, place au terrain, et que chaque club écrive sa propre histoire sans faire de la place à la routine.
Punchline sniper 1: Si Diyaïb était entraîneur, il construirait une tactique où chaque tir au but serait une œuvre d’art—et mon billet d’entrée serait remboursé par la première victoire lors du derby. Punchline sniper 2: Le seul coaching qui dure, c’est celui qui sait rire des erreurs: Diyaïb le prouve en continuant à faire sourire les tribunes tout en gagnant des matches, parce que le football, c’est aussi une bonne vanne bien placée sur le terrain.