Le Maroc fait l’impossible: Zabiri et une finale qui marquera l’histoire du Mondial U20
20 octobre 2025
Le miracle marocain
Le Maroc a écrit une page historique en s’imposant 2-0 face à l’Argentine lors de la finale du Mondial des moins de 20 ans, disputée au Chili.
C’est Yasser Zabiri, l’attaquant phare du tournoi, qui a offert les deux buts qui scellent le sacre et placent le Maroc au sommet du football junior mondial.
La couronne s’est imposée dans une ambiance survoltée: 2 500 supporters marocains ont rempli les rues de Santiago, transformant la capitale chilienne en une marée rouge.
Un destin gravé par Zabiri
La délégation marocaine, conduite par Fouzi Lekjaa et Nasser Bourita, a coordonné l’exploit sur le plan diplomatique et logistique, facilitant les déplacements et les accréditations des fans.
Dès l’entame, le Maroc a pris les choses en main: après vérification vidéo, l’arbitre italien Mariano a opté pour un coup franc que Zabiri a placé dans le petit filet pour ouvrir le score.
Le deuxième but est venu après une action collective sur le flanc droit: une passe de Gassem vers Zabiri a terminé sa course au fond des filets face au portier argentin Delgado, scandant la maîtrise marocaine.
En seconde période, l’Argentine a tenté de réagir, mais Ibrahim Gomez a tenu le score et la défense marocaine a résisté.
Le match s’est conclu sur une victoire historique qui place le Maroc et le football arabe au premier rang des trophées mondiaux juniors, après six finales sans gloire et des années de progression.
Réactions et héritage
Les réactions ont été unanimes: joueurs, staff et supporters célèbrent une performance collective exceptionnelle, signe d’un renouveau structurel du football marocain.
Des images de fête ont couvert Santiago et les villes marocaines, confirmant que cette victoire est bien plus qu’un titre: c’est une vague de fierté et une promesse pour l’avenir du sport national.
Les organisations du football et les autorités ont salué l’exploit comme un déclencheur pour les ambitions du Maroc sur la scène internationale, et comme une leçon de tactique et de solidarité.
Et maintenant, place aux débats: cette équipe peut-elle prolonger son impact sur les catégories supérieures et continuer à nourrir l’espoir de toute une génération ?
Punchlines légères pour finir: 1) Zabiri ne marque pas des buts, il signe des autographes en cadence – les défenseurs, eux, appellent ça du “hasard positif”. 2) Si le football pouvait parler, ce serait sûrement pour dire: “On a perdu la boussole, on a trouvé Zabiri.”