Liverpool terrasse le Real Madrid à Anfield: Mac Allister signe la victoire, Courtois sauve l6e sens du match

Déroulé tactique et actions clés

Liverpool poursuit sa suprématie sur le Real Madrid en Ligue des Champions pour la seconde saison d’affilée, en s’imposant 1-0 à Anfield mardi, lors de la quatrième journée de la phase de groupes. Le but unique est inscrit par l’Argentin Alexis Mac Allister, offrant aux Reds une deuxième victoire d’affilée face aux Merengues après le 2-0 de la saison précédente. C’était aussi la première défaite madrilène dans la compétition cette saison, après trois victoires consécutives, et le Real demeure à 9 points mais glisse à la 5e place.

Du côté des Reds, Arne Slot maintient son schéma habituel 4-2-3-1, s’appuyant sur Hugo Ekitike dans l’axe, avec Mohamed Salah et Florian Wirtz, accompagnés de Dominik Szoboszlai, qui tentent d’apporter la verticalité nécessaire. Le Real Madrid, lui, opte pour un 4-1-4-1, Camavinga sur l’aile droite et Mbappe dans l’axe aux côtés de Vinícius Júnior, alors que la fonction défensive pèse sur les épaules des milieux et des défenseurs pour refermer les espaces lyonnais.

Le Real parvient d’emblée à bloquer la droite de Liverpool grâce à la coordination de Valverde et Camavinga. De son côté, Liverpool se montre pragmatique et privilégie les tirs lointains lorsque l’angle d’infiltration est trop fermé, notamment en raison de la solidité du duo Militäo–Courtois.

Écran défensif et maître des airs Le duo Courtois–Militao réalise plusieurs parades et interventions déterminantes pour préserver le score autour de la mi-temps, alors que les Reds contiennent les tentatives madrilènes et referment les espaces dans les transitions.

À la pause, Liverpool pousse et trouve la lumière sur une remise axiale qui aboutit à Mac Allister, qui frappe et ajuste le gardien, donnant l’avantage à son équipe.

Le Real Madrid tente ensuite de réagir via Mbappé et Vinícius, mais la défense de Liverpool tient le coup et repousse les assauts jusqu’au coup de sifflet final. Le match bascule ensuite sur les consécutifs remplacements, qui n’apportent pas le détonateur escompté par les deux entraîneurs. Klopp et Slot alignent leurs biques, mais les faits restent figés sur le score.

En seconde période, les occasions se font plus rares : les attaques se heurtent à des murs et les lucarnes restent muettes. Le Real persiste dans ses efforts, Liverpool s’accroche à son but et gère les ultimes minutes sans concéder l’égalisation.

En somme, une victoire compacte de Liverpool qui confirme sa progression européenne et met Under pressure Real Madrid, désormais en difficulté sur les phases offensives et les transitions rapides.

Punchline snipée : à Anfield, le ballon préfère parfois rester du côté des Reds que d’aller en face des madrilènes; on dirait qu’il a pris goût à l’ambiance des supporters et à la poussière des partitions tactiques. Punchline 2 : dans ce genre de match, même le VAR prend des notes et s’énerve quand le suspense dure trop longtemps ; le football, c’est finalement un peu comme une blague bien placée : ça marche quand on s’y attend le moins.