Zamalek sous pression: Ferreira envoie un ultimatum et déclenche la tempête financière
15 novembre 2025
Contexte et enjeux
Le Zamalek reçoit une lettre officielle du coach belge Yanic Ferreira, qui avertit le club et évoque une éventuelle action auprès de la FIFA si les paiements restent impayés. Ferreira réclame le paiement total des arriérés et fixe une dernière échéance avant d’engager des poursuites.
Selon des sources, un accord antérieur prévoyait que Ferreira renoncerait à trois mois de salaire en échange du règlement immédiat du solde; le club aurait ensuite renoncé à cet accord, ce qui complique davantage la situation financière.
Conséquences et chiffres clés
Cette affaire s’inscrit dans un passif réel: Ferjani Sassi est réclamé à hauteur de 480 000 dollars, majoré de 5 % d’intérêts par an en cas de retard. Jose Gomes et son staff figurent aussi parmi les créances, autour de 160 000 dollars, et d’autres litiges impliquant des joueurs et des clubs partenaires viennent alourdir le dossier.
Le risque principal est l’éventualité de sanctions liées à l’enregistrement des joueurs, ce qui limiterait grandement les recrutements et pourrait freiner les ambitions du club en championnat et en coupe.
Des dettes envers AIK et d’autres clubs montrent que la période actuelle est critique et nécessite des décisions rapides et intelligentes pour éviter une escalade juridique.
Après le limogeage de Ferreira au début du mois, le club doit désormais chercher des solutions structurelles pour sécuriser les liquidités et éviter de nouvelles condamnations ou retards.
Perspectives et prochaines étapes
La direction est censée accélérer les négociations et mettre en place des paiements échelonnés afin d’éviter de nouvelles suspensions de transferts et de protéger la compétitivité du club. La priorité est désormais d’apurer les dettes les plus pressantes et de limiter les risques juridiques.
Punchline 1: Si les dettes avaient une odeur, celle du goudron et des procédures judiciaires ferait fuir même les supporters les plus fidèles. Punchline 2: Espérons que le club parviendra à régler ce casse-tête financier sans perdre son sens de l’humour—et son banc de touche.