Torres entre Ramos et Di Stefano : l’Espagne n’a pas encore validé son billet pour le Mondial 2026

Victoire convaincante et suspense persistant

L’Espagne a dominé la Géorgie 4-0 à Tbilissi, infligeant une défaite lourde et consolidant sa position en tête du groupe pour les éliminatoires du Mondial 2026. Toutefois, la qualification ne peut pas être annoncée comme acquise mathématiquement et le prochain rendez-vous reste déterminant.

Ferran Torres s’est illustré en inscrivant un but et en délivrant une passe décisive, montrant une connexion fluide avec l’attaque espagnole et confirmant son rôle clé dans le dispositif offensif. Son impact a rappelé que l’attaque de la Roja peut être redoutable quand elle est en confiance.

Martin Zubimendi et Torres ont été des moteurs du jeu collectif, tandis que Mikel Merino a aussi participé activement à la construction et à la récupération. Oyarzabal a signé un doublé, ponctuant une performance collective maîtrisée et efficace.

Les faits du match ont rapidement donné le tempo, avec un penalty obtenu après une main dans la surface et transformé par Oyarzabal à la 11e minute, lançant la démonstration espagnole. Le 2-0 est arrivé à la 22e minute grâce à Zubimendi, puis Torres a inscrit le 3-0 à la 34e sur une combinaison bien huilée. Le quatrième but, à la 63e, est venu d’une tête d’Oyarzabal sur un centre de Torres, scellant le score et la domination de l’équipe espagnole.

En seconde période, l’Espagne a géré son avantage avec sérénité, poursuivant son pressing et son contrôle du jeu, tandis que la Géorgie, courageuse, n’a pas pu renverser le cours du match malgré quelques opportunités.

Au classement, l’Espagne mène le groupe avec 15 points, la Géorgie restant à 3 points. La formation espagnole a affiché une entente retrouvée et une efficacité dans les transitions, signe d’une qualification encore en gestation mais proche de devenir réalité.

Réactions et perspective des deux camps

Ferran Torres a salué une performance globale quasi parfaite tout en rappelant que rien n’est encore joué. « Le chemin vers le Mondial 2026 reste incertain, mais notre concentration est maximale », a-t-il déclaré. Martin Zubimendi a apprécié sa contribution côté offensif, tout en insistant sur la nécessité d’améliorer certains aspects, notamment dans la pression et la gestion des séquences offensives.

En somme, l’Espagne doit rester sérieuse et disciplinée pour sécuriser définitivement son billet et aborder le prochain match dans les meilleures conditions.

Punchlines Sniper à la fin : 1) Si la qualification se joue à la précision des passes, l’Espagne serait championne du monde… sur le papier, parce que sur le terrain, il faut encore appuyer sur le bouton “GO”. 2) Et si Ramos et Di Stefano rêvaient encore du Mondial, nous, on rêve surtout d’un café – parce que même les légendes savent que les prolongations se gagnent parfois au petit noir.»