Les malédictions rôdent autour de l’Italie avant le tirage du barrage Mondial 2026
20 novembre 2025
Aperçu du barrage et des enjeux
Comme l’Italie le sait, son adversaire potentiel en demi-finale du barrage pour le Mondial 2026 sera l'une des quatre équipes: Macédoine du Nord, Roumanie, Suède ou Irlande du Nord. La phase de qualification est terminée: les 12 vainqueurs de groupe se qualifient directement pour le tournoi estival de l'année prochaine. À ce stade, les équipes déjà confirmées pour le tournoi sont: Croatie, Angleterre, France, Allemagne, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Espagne, Suisse, Autriche, Belgique et Écosse.
Parcours et tirage à venir
Le tirage de la phase européenne du barrage se tient aujourd'hui. L'Italie se retrouve dans le niveau 1, le niveau des favoris européens, ce qui leur confère une meilleure position pour jouer le demi-final sur leur terrain en mars 2026. En demi-finale, l’Italie affrontera une équipe du niveau 4, celle des formations non qualifiées via les qualifications européennes.
Si l’Italie se qualifie le 26 mars, elle affrontera une équipe du niveau 2 ou 3 le 31 mars, selon les résultats. Voici les niveaux du barrage:
- Niveau 1: Italie, Turquie, Ukraine, Danemark
- Niveau 2: Pays de Galles, Slovaquie, Pologne, République tchèque
- Niveau 3: République d’Irlande, Albanie, Bosnie-Herzégovine, Kosovo
- Niveau 4: Suède, Roumanie, Macédoine du Nord, Irlande du Nord
La « malédiction persistance » veut qu’au moins l’une de ces trois formations — Irlande du Nord, Suède, Macédoine du Nord — soit l’adversaire de l’Italie en demi‑finale. Ces pays ont empêché l’Italie d’atteindre la Coupe du Monde à plusieurs reprises, et l’Italie a manqué le tournoi en 1958, et d’autres occasions selon l’histoire.
Que se passe-t-il en qualifications? L’Italie a terminé deuxième du Groupe 9 avec 18 points en 8 matchs, derrière la Norvège, qui les devançait de six points. Le début fut rude, avec une défaite 3-0 à l’extérieur en Norvège, signée Sorloth, Nusa et Haaland, qui a nourri le doute sur la capacité de l’entraîneur à conduire le groupe.
Des rumeurs ont circulé sur le départ de l’entraîneur après cette erreur, mais l’Italie a finalement changé de cap: Gian Piero Gasperini a été engagé pour diriger l’équipe. Sous sa direction, l’Italie a enchaîné les résultats solides: 5-0 contre l’Estonie, puis 5-4 contre Israël, suivi de 3-1 sur l’Estonie, 3-0 sur Israël et 2-0 contre la Moldavie. Cependant, la dernière rencontre contre la Norvège s’est soldée par une nouvelle défaite lourde, 4-1 à domicile, relançant les doutes et les discussions sur le futur.
La réaction fut rapide: la chute fut décrite comme « une défaite humiliante » et, surtout, un signal que les évolutions ne s’étaient pas achevées. L’Italie repart cependant avec l’espoir que les barrages leur permettront d’atteindre le Mondial.
Ce qu’il faut retenir des niveaux du barrage et des possibilités d’opposition: les niveaux du barrage montrent l’ampleur de la compétition et les calculs qui entourent chaque tirage. La route est semée d’obstacles, mais l’Italie garde encore une porte d’entrée vers le Mondial 2026, en mars et fin mars.
Ce que l’Italie a apporté pendant les qualifications
En terminant deuxième du Groupe 9 avec 18 points, l’Italie a connu un début difficile qui a alimenté les spéculations autour du poste d’entraîneur. Après une victoire clé sur Moldova et des performances régulières, le parcours illustre bien les montagnes russes habituelles des barrages européens et le niveau d’exigence imposé par les places de tirage.
La suite et la malédiction persiste
La malédiction persiste, car l’adversaire de l’Italie en demi‑finale pourrait provenir des pays qui l’ont déjà bloquée par le passé, et qui, pour certains, ont interrompu son rêve de Mondial dans le passé. L’épisode illustre le paradoxe du football moderne: on peut tout avoir, sauf l’assurance absolue d’un avenir radieux sans une once de suspense jusqu’au coup de sifflet final.
Pour conclure, l’Italie doit traverser ces barrages avec la conviction que le Mondial 2026 reste à portée de tir, même si le parcours s’annonce tortueux et ponctué de miracles et de malédictions. En route vers le tirage, l’espoir et le questionnement restent les seuls compagnons de voyage.
Punchlines à la fin:
Punchline sniper 1: L’Italie au barrage, c’est comme un sniper en pause: tout est prêt, mais le tir part au moment où on éternue.
Punchline sniper 2: Si la malédiction avait un compte Twitter, elle aurait mille retweets: elle ne lâche jamais le match et elle rend le suspense irremplaçable.